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Le Pouvoir de Choisir

Bienvenue! Voici une vidéo qui vous donnera des conseils de base, gracieuseté du Centre de traitement Aptus et Mackenzie Health’s Centre for Behaviour Health Sciences. Dans cette vidéo, nous étudierons le pouvoir de choisir et comment cette stratégie toute simple peut avoir une énorme influence sur le comportement.

Cette vidéo vous montrera comment offrir des choix, pour de nombreuses personnes différentes dans divers contextes, peut avoir un impact puissant sur le comportement et, surtout, sur la qualité de vie de l’individu. En utilisant des exemples très courants, nous vous montrerons comment offrir des choix n’a pas besoin d’être difficile ou compliqué et peut être fait assez facilement dans votre lieu de travail ou à la maison.

Ces conseils peuvent être utilisés dans de nombreux contextes différents et nous vous encourageons à partager cette vidéo avec toute personne qui pourrait en bénéficier.

Vous pouvez également consulter notre guide de Conseils de base pour obtenir des informations et des explications plus détaillées : Conseils Créé par: de base pour gérer les comportements difficiles

Le Centre de traitement Aptus, un organisme Ontarien qui soutient les personnes ayant une déficience intellectuelle, a préparé cette série de ressources bilingues pour aider les enfants, les jeunes et les adultes à gérer les comportements difficiles. Toutes les vidéos sont disponibles en anglais et en français. Ces vidéos sont financées par le Ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires.

Comment Offrir un Horaire Visuel

Bienvenue! Voici une vidéo qui vous donnera des conseils de base, gracieuseté du Centre de traitement Aptus et Mackenzie Health’s Centre for Behaviour Health Sciences. Dans cette vidéo, nous allons examiner les horaires visuels et comment ils peuvent être utiles pour de nombreuses personnes différentes dans divers contextes.

Dans cette vidéo, nous montrerons comment un horaire visuel, utilisant uniquement des éléments visuels simples et quelques mots, peut aider les gens à faire des choix sur ce qu’ils veulent faire et permet à la personne d’avoir plus de contrôle sur les événements quotidiens. C’est aussi un moyen facile de communiquer avec quelqu’un qui, autrement, pourrait avoir des difficultés à communiquer ses désirs et ses besoins.

Les horaires visuels sont faciles à créer et peuvent être réalisés avec des éléments simples autour de votre domicile ou de votre lieu de travail.

Ces conseils peuvent être utilisés dans de nombreux contextes différents et nous vous encourageons à partager cette vidéo avec toute personne qui pourrait en bénéficier.

Le Centre de traitement Aptus, un organisme Ontarien qui soutient les personnes ayant une déficience intellectuelle, a préparé cette série de ressources bilingues pour aider les enfants, les jeunes et les adultes à gérer les comportements difficiles. Toutes les vidéos sont disponibles en anglais et en français. Ces vidéos sont financées par le Ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires.

Introduction au Renforcement

Bienvenue! Voici une vidéo qui vous donnera des conseils de base, gracieuseté du Centre de traitement Aptus. Dans cette vidéo, nous examinerons le terme « renforcement » et la manière dont cette stratégie peut avoir une énorme influence sur le comportement.

Cette vidéo suivra 3 scénarios: une enseignante et une élève, un vétéran monoparental atteint d’un TSPT et un sans-abri souffrant de problèmes de santé mentale, tout au long d’un processus de découverte sur la manière d’utiliser le renforcement pour modifier leurs comportements indésirables. Ces conseils peuvent être utilisés dans de nombreux contextes différents et nous vous encourageons à partager cette vidéo avec toute personne qui pourrait en bénéficier.

Vous pouvez également consulter notre guide de Conseils de base pour obtenir des informations et des explications plus détaillées : Conseils Créé par: de base pour gérer les comportements difficiles

Le Centre de traitement Aptus, un organisme Ontarien qui soutient les personnes ayant une déficience intellectuelle, a préparé cette série de ressources bilingues pour aider les enfants, les jeunes et les adultes à gérer les comportements difficiles. Toutes les vidéos sont disponibles en anglais et en français. Ces vidéos sont financées par le Ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires.

Les étapes de la planification des transitions pour les jeunes autistes

La transition vers la vie adulte est un processus qui doit être soigneusement planifié et préparé. Certains des services et soutiens offerts avant l’âge de 18 ans prendront fin et pourraient être remplacés par de nouveaux services pour adultes. Les parents devront peut-être modifier leurs attentes et leurs activités et trouver de nouveaux soutiens et services pour l’adulte en devenir. La personne qui a reçu un diagnostic de TSA aura besoin d’appuis pour trouver de nouveaux services pour adultes pour cerner ses intérêts et ses points forts, et définir les prochaines étapes de sa vie.

Questions que doit se poser la personne autiste

  • Qu’est-ce que je vais faire après l’école secondaire?
  • Qu’est-ce que je fais bien?
  • Où vais-je habiter?

Les transitions réussies nécessitent une planification précoce et beaucoup beaucoup de pratique!

8ième année et planification en prévision de la 9ième année

Pour certains jeunes, l’entrée à l’école secondaire peut ressembler à l’arrivée dans un tout nouveau pays. La reconnaissance de l’importance du langage peut vous aider à faire des choix éclairés.

Les choix peuvent sembler compliqués. Plus les élèves et leurs familles participent aux choix liés à l’école, plus les élèves exercent un contrôle sur leur destination.

Aspects à prendre en compte avant d’entrer en 9ième année

Questions que doit se poser la personne autiste

Les programmes d’études secondaires : Quels sont mes choix?

  • Qu’est-ce que l’école peut m’offrir? Il est important de comprendre les choix qu’offrent les écoles secondaires. Les programmes sur lesquels je dois me renseigner : les programmes d’enseignement à l’enfance en difficulté, aux élèves qui ont une déficience intellectuelle, l’apprentissage autonome, les programmes pour les élèves surdoués et les programmes de ressources.

Est-ce que j’obtiendrai un diplôme? Quels sont mes choix?
Lorsque vous choisissez vos cours de 9ième année, renseignez-vous bien sur le nombre et le type de crédits nécessaires pour obtenir un diplôme.

De quelle manière les choix de cours à l’école secondaire affecteront-ils les choix de vie de l’élève après ses études secondaires?

Renseignez-vous et posez des questions à l’école au sujet des éléments suivants :

  • Le Certificat de rendement : Le Certificat de rendement est décerné aux élèves qui ne répondent pas aux exigences du DESO ou du CESO. Il atteste de la participation de l’élève à un programme d’études secondaires. Les élèves sont inscrits à des cours K, sans crédit.
  • Le Diplôme d’études secondaires de l’Ontario (DESO) : Ce diplôme est décerné aux élèves qui ont rempli toutes les exigences : crédits, littéracie et heures de travaux communautaires.

L’été avant d’entrer en 9ième année

Assistez à la journée d’orientation et de préparation à l’école secondaire
Renseignez-vous sur les journées d’orientation que les écoles secondaires proposent au mois d’août et au cours de la première semaine de septembre. Ces journées sont conçues pour aider les élèves à se préparer pour l’école secondaire. Certaines collectivités ont créé des groupes ou des ateliers de préparation plus intensifs aux études secondaires. Informez-vous auprès d’un organisme communautaire ou du personnel scolaire.

Assurez-vous d’avoir un moyen de transport pour vous rendre à l’école et en revenir.

Familiarisez-vous avec les routines et les horaires de l’école secondaire et procédez à des RÉPÉTITIONS.
L’école vous fournira des renseignements sur les heures de début et de fin des cours ainsi que sur les routines de base. La plupart des écoles vous laissent 5 minutes pour vous rendre à votre prochain cours. Les heures de dîner seront incluses dans votre horaire. Profitez de l’été pour vous familiariser avec les nouvelles routines et la pause du midi.

Sujets connexes traités sur le site de ConnectABILITY (en anglais)

Ressource en français :

En 9ième et 10ième année

Durant sa 10ième année, votre fil ou votre fille devra choisir les cours qui correspondent à « l’avenir souhaité », ce que l’on appelle aussi un « parcours scolaire ». Ces choix seront fonction de ses intérêts professionnels futurs, de ses notes au secondaire et de son niveau actuel.

Cours de préparation aux études universitaires

  • Ces cours préparent les jeunes à acquérir les compétences et les connaissances requises pour s’inscrire à des programmes universitaires.
  • Les cours sont basés sur la théorie de la matière et comprennent des applications pratiques.

Cours de préparation aux études collégiales

  • Ces cours préparent les jeunes à acquérir les compétences et les connaissances requises pour s’inscrire à des programmes d’études collégiales et à certains stages.
  • Ces cours sont basés sur des applications concrètes ou sur les matières et mettent l’accent sur le développement de la pensée critique et la résolution de problèmes.

Cours de préparation au marché du travail

  • Ces cours préparent les jeunes à acquérir les compétences et les connaissances requises pour l’entrée directe sur le marché du travail, pour l’admission à des programmes de stages ainsi qu’à d’autres programmes de formation offerts dans la collectivité.
  • Ils rappellent l’importance de l’apprentissage continu.

Cours axés sur la participation à la vie communautaire

  • Ces cours préparent les jeunes à participer à la vie communautaire.
  • Ils favorisent une véritable inclusion sociale dans la collectivité.

Réunions annuelles de planification des transitions

  • Saviez-vous que vous avez la possibilité de participer, à chaque année d’études secondaires, à une réunion de planification des transitions qui est organisée en collaboration avec l’école secondaire?

Q.

  • En quoi consiste une réunion de planification des transitions à l’école secondaire?

A.

  • Ces réunions de planification des transitions peuvent commencer en 9ième année et avoir lieu une fois par année jusqu’à la graduation. Elles ont pour but de planifier la vie après l’école secondaire.
  • Les parents ont le droit d’inviter des organismes communautaires de l’extérieur à assister à la planification des transitions après l’école secondaire.
    Voici quelques exemples des résultats possibles d’une réunion annuelle de planification des transitions : faires des heures de bénévolat, entrer en contact avec des services de placement pour tenter d’obtenir un emploi d’été, plus nombreuses possibilités de développer son autonomie (cuisine, transport en commun).
  • Maintenez les lignes de communication ouvertes! Demander à votre enfant comment se passe son adaptation à l’école secondaire. Rappelez-lui que de nombreux adultes se soucient de son bien-être et sont prêts à l’aider : les conseillers/conseillères en orientation, le personnel enseignant, travailleurs/travailleuses auprès des enfants et des jeunes, les membres de l’administration, les aumôniers/aumônières, les mentors, les aides-enseignants/enseignantes, le personnel enseignant chargé de la réussite des élèves. Établissez des liens avec un organisme de services sociaux de votre collectivité.

La vie sociale des adolescents et adolescentes aux études

Pistes de réflexion concernant les ados qui font des études secondaires

  • Comment se débrouillent-ils à l’heure du dîner? Ont-ils accès à d’autres locaux pour manger?
  • Utilisent-ils les médias sociaux de manière sécuritaire?
  • Savent-ils à qui s’adresser pour obtenir de l’aide à l’école?
  • Ont-ils besoin d’aide pour se faire des amis? De nombreuses écoles secondaires ont des programmes de soutien entre pairs.
  • Y a-t-il des clubs scolaires qui pourraient plaire à vos élèves?
  • Ont-ils besoin d’aide pour se préparer aux danses de l’école secondaire?
  • Est-ce qu’ils écoutent les annonces du matin?
  • Sont-ils prêts à vivre une relation amoureuse?

Sujets connexes traités sur le site de ConnectABILITY (en anglais)

Ressource en français :

À 16 ans

C’est l’âge auquel les élèves découvrent le travail à temps partiel ainsi que les activités sociales et récréatives, à moins que ce ne soit déjà fait. Les personnes autistes ont besoin d’énormément de PRATIQUES et RÉPÉTITIONS dans leur vie sociale et professionnelle.

Les liens qu’ils tissent entre 16 et 18 ans peuvent servir de tremplin vers les relations entre adultes, vers les loisirs et vers le travail après l’âge de 18 ans.

  • Présentez une demande au titre des SOPDI
  • Profiter au maximum de vos années d’école (Groupes sociaux, etc.)
  • Amitiés et relations interpersonnelles
  • Développer des compétences communautaires

Présentez une demande au titre des Services de l’Ontario pour les personnes ayant une déficience intellectuelle (SOPDI)

Le gouvernement de l’Ontario offre des soutiens et des services.
A 16 ans, faites une demande de soutiens et de services auprès de votre bureau local des SOPDI http://www.sopdi.ca/?lm_lang=fr-ca

Avoir une vie sociale!

Encouragez votre enfant à participer. Les élèves devraient prêter attention aux annonces de stages d’essai pour les équipes ou de réunions pour les clubs scolaires. En participant, les élèves se feront de nouveaux amis et développeront un sentiment d’appartenance à la communauté scolaire. C’est un aspect problématique pour bon nombre de personnes autistes. Le monde social est parfois complexe. Prévoyez un plan pour découvrir les activités et les clubs scolaires de plus d’une façon.

Est-ce que votre enfant est en bonne santé? Est-ce que ses vaccins sont à jour? À quand remonte son dernier examen médical? Est-ce que votre enfant est physiquement actif, s’alimente bien, dort suffisamment? Le fait d’être en bonne forme physique aidera certainement les élèves à réaliser leur potentiel académique et social.

Cliquez sur ce lien pour trouver des activités adaptées aux réalités des jeunes autistes, qui sont offertes dans votre région! https://www.eventbrite.ca/d/canada–toronto/autism-ontario/

Des outils pour planifier à l’avance

Il existe divers outils de planification en ligne pour aider les familles lorsque leurs enfants deviennent des ados, puis des adultes.

Trousse de ressources pour les parents d’enfants autistes
Cette trousse comprend des sections sur les transitions courantes, les transitions liées aux familles et les transitions liées aux études http://www.children.gov.on.ca/htdocs/French/specialneeds/autism/aprk/index.aspx

The KIT: Keeping it Together (en anglais) est un outil organisationnel. Il s’agit d’une façon d’organiser l’information pour votre enfant, de vous aider à interagir avec différents systèmes de services, par exemple les services de santé, d’éducation et de loisirs. C’est un outil utile pour les parents d’enfants autistes, de la naissance jusqu’à l’âge de 21 ans.

Le KIT est conçu pour les jeunes autistes afin de les aider à consigner l’information importante au cours de leur transition vers la vie adulte. https://www.canchild.ca/system/tenon/assets/attachments/000/000/721/original/Youth_Kit_Online.pdf

Sub : Développer des compétences en prévision de la vie adulte
Les personnes autistes doivent avoir des occasions de s’entraîner à faire beaucoup de choses. Voyez les années d’études secondaires comme des années de pratique en prévision de la vie adulte. Voici quelques aptitudes à la vie autonome que les élèves de la 9ième année à la 11ième année pourraient vouloir mettre en pratique : cuisine, lessive, littératie financière, voyages et déplacements, etc.

Cliquez sur ces liens pour découvrir d’autre habiletés à développer en prévision de la vie adulte (en anglais)

Ressources en français

18+ ans

S’inscrire au Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées (POSPH)
Se préparer à la vie après l’école secondaire
Saviez-vous qu’en Ontario un élève peut rester à l’école jusqu’à l’âge de 21 ans, mais que ses droits changent à l’âge de 18 ans? .

La vie après l’école secondaire

Après avoir terminé l’école secondaire, différents parcours s’offrent à vous : des études postsecondaires, la participation à la vie communautaire, la formation en apprentissage (menant à un emploi) ou un emploi. Vous pourriez aussi combiner certains de ces parcours pour diversifier vos expériences quotidiennes.

Pour les élèves ayant des besoins particuliers, la transition de l’école au travail, à d’autres études et à la vie communautaire peut être particulièrement difficile. Certains éléments facilitent grandement cette transition :

  • les écoles travaillent en collaboration avec les parents, les employeurs, les organismes communautaires et les établissements d’enseignement supérieur afin d’élaborer des plans concertés et créer des réseaux communautaires;
  • la transition est planifiée à l’avance;
  • des objectifs à court et à long terme sont définis à chaque année d’études secondaires. Ces objectifs sont liés aux réseaux communautaires, à l’identification des habiletés de la vie quotidienne jugées nécessaires ainsi qu’aux expériences de travail.

Études postsecondaires

Il existe différentes façons de poursuivre vos études après l’école secondaire : programmes à temps plein, programmes à temps partiel et cours d’éducation permanente aux adultes, souvent offerts par les conseils scolaires locaux et les collèges.

Études universitaires et collégiales

Études universitaires
Les universités offrent des programmes de diplôme qui sont de nature théorique et ces programmes diffèrent d’une université à l’autre. La plupart des programmes de premier cycle coûtent entre 6 000 et 10 000 dollars par année, excluant les manuels. Si la personne choisit de vivre loin de chez elle, le coût de ses études augmente.

La clientèle type des universités

  • Votre fils ou votre fille aime les concepts abstraits associés au matériel pédagogique et à l’apprentissage théorique.
  • Votre fils ou votre fille peut accomplir une bonne partie de son travail de manière autonome.

Comment pouvez-vous vous préparer pour l’université?

  • Votre fils ou votre fille doit suivre principalement des cours académiques en 9ième et 10ième année, et des cours préparatoires aux études universitaires et/ou collégiales en 11ième et 12ième année.

Études collégiales
Les programmes d’études collégiales permettent d’acquérir à la fois des compétences pratiques et des connaissances de haut niveau. Les études collégiales sont économiquement plus abordables, soit approximativement de 3 000 $ à 5 000 $ par année.

La clientèle type des collèges

  • Votre fils ou votre fille réussit bien dans les programmes d’études pratiques appliquées.
  • Votre fils ou votre fille apprécie les plus petites classes et une approche personnalisée de l’enseignement.

Les programmes d’éducation inclusive des collèges de l’Ontario
L’idée de poursuivre des études collégiales peut être intimidante si tu as un trouble du spectre de l’autisme. « Les programmes d’éducation inclusive (ou programmes d’intégration communautaire par l’éducation coopérative) des collèges de l’Ontario te donnent l’occasion de vivre une expérience collégiale et de poursuivre des études postsecondaires grâce à des cours destinés à répondre sur mesure à tes besoins particuliers. Tu pourras acquérir les compétences nécessaires pour assurer ton autonomie au sein de la collectivité et trouver un emploi dans le domaine de ton choix. »

Source : https://www.ontariocolleges.ca

Aide aux études postsecondaires

Autres ressources disponibles pour les élèves qui poursuivent des études postsecondaires

Pistes de réflexion pour les personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme et leurs familles

Participation communautaire / Programmes de jour

Ces programmes sont axés entre autres sur des activités sociales, récréatives ou spirituelles; sur l’acquisition d’aptitudes à l’autonomie; sur la poursuite d’apprentissages après l’école secondaire : suivre un cours, faire du bénévolat, fréquenter les bibliothèques publiques ou participer aux activités d’un centre communautaire; devenir bénévole ou se préparer à occuper un emploi.

Ces possibilités sont parfois offertes par les organismes communautaires que fréquentent les élèves. Tous les organismes sont chapeautés par les SOPDI (Services de l’Ontario pour les personnes ayant une déficience intellectuelle) – http://www.dsontario.ca/ (http://www.sopdi.ca/

Financement offert dans le cadre du programme Passeport, de l’Ontario

Le programme Passeport aide les adultes de 18 ans ou plus qui ont une déficience intellectuelle à participer aux activités offertes dans leur collectivité. Pour en savoir davantage :

Pour d’autres ressources de soutien à la participa tion communautaire (en anglais) :

Formation en apprentissage

La formation en apprentissage est une méthode pratique permettant d’acquérir des compétences professionnelles, tant au travail que dans un collège. Il existe plus de 150 métiers spécialisés en Ontario, qui peuvent être classés en quatre secteurs d’activités : la construction, l’industrie, la force motrice et les services. Pour obtenir une liste de tous les métiers, consultez le site : https://www.ontario.ca/fr/page/ministere-de-lenseignement-superieur-et-de-la-formation-professionnelle ou http://www.oyaptcdsb.com/ (en anglais)

Emploi

Les élèves qui songent à se trouver un travail immédiatement après leurs études secondaires pourraient décider d’attendre d’avoir obtenu un diplôme d’études secondaires de l’Ontario (DESO) ou un certificat d’études secondaires de l’Ontario (CESO). Si ce parcours vous intéresse, nous vous suggérons de vous inscrire aux programmes d’éducation coopérative en 11ième et/ou en 12ième année. Vous pourriez aussi envisager de vous inscrire à un programme de Majeure Haute Spécialisation si celui-ci est offert à votre école. Les élèves peuvent planifier leur parcours vers le monde du travail en consultation avec le conseiller/la conseillère en orientation et l’enseignant/enseignante en éducation coopérative. Les élèves à la recherche d’un emploi auraient tout intérêt à participer aux foires de l’emploi locales qui leur donnent la possibilité de rencontrer des employeurs et de se familiariser avec des techniques de recherche d’emploi. Ces foires sont d’excellentes occasions de vous inscrire auprès du bureau de placement de leur région.

Bon nombre de personnes autistes possédant des habiletés différentes sont capables de travailler et de gagner leur vie.

  • Choisissez un travail en fonction de vos intérêts et de vos points forts.
  • N’écartez pas la possibilité de demander de l’aide pour trouver et conserver un travail.

Ressources en matière d’emploi

Emploi : Ressources et outils favorisant la réussite en emploi et analyse de rentabilisation de l’embauche d’une personne handicapée. (en anglais)

La transition vers l’emploi. Cet article nous rappelle que les élèves autistes ont besoin d’aide supplémentaires dans les domaines suivants, liés à l’emploi : les interactions sociales avec les collègues, les habiletés organisationnelles et les défis sensoriels, la compréhension des différents rôles et des différentes carrières, les entrevues, la gestion de l’anxiété, le décodage des signaux sociaux, la défense de leurs droits, la santé mentale, et nous suggère aussi des mesures que les écoles pourraient prendre pour soutenir l’emploi.

Worktopia est un nouveau projet financé au fédéral ayant pour but d’améliorer l’avenir de l’emploi des jeunes et des jeunes adultes de 15 à 29 ans atteints du trouble du spectre autistique (TSA) alors qu’ils effectuent la transition du secondaire vers la vie d’adultes autonomes.
http://fr.autismspeaks.ca/science-et-services/services-a-la-famille/worktopia/

Ontario Job Opportunity Information Network (JOIN)
Le Ontario Job Opportunity Information Network (JOIN) offre un guichet d’accès unique aux demandeurs d’emploi, aux employeurs et aux fournisseurs de services. Nous tentons d’orienter les candidats qualifiés vers les postes ouverts par nos partenaires ou vers des fournisseurs de services qui répondront à leurs besoins. Nous proposons également des stratégies et des appuis pédagogiques pour que les employeurs soient en mesure de comprendre les besoins des personnes handicapées en milieu de travail et de favoriser leur pleine inclusion. Donc, que vous soyez un demandeur d’emploi, un employeur ou un fournisseur de services, vous êtes au bon endroit – nous avons hâte de travailler avec vous! http://joininfo.ca/

Ontario Disability Employment Network (ODEN)
Le Ontario Disability Employment Network est une organisation professionnelle de fournisseurs de services en emploi qui ont uni leurs efforts pour accroître les possibilités d’emploi pour les personnes qui ont un handicap. http://odenetwork.com/

Conseils d’un coach emploi sur la divulgation en milieu de travail

Qu’est-ce que la divulgation?

C’est le fait de révéler des renseignements personnels sur vous-même pour un motif précis. De nos jours, les personnes handicapées à la recherche d’un emploi sont plus nombreuses à intégrer le marché du travail. Pour ces personnes, les démarches pour trouver et conserver un emploi ne sont généralement pas différentes de celles que doivent faire les personnes qui n’ont pas de handicap. Cependant, des éléments additionnels doivent parfois être pris en considération, notamment la divulgation de leur condition handicapante – doivent-elles parler de leur handicap, à quel moment et de quelle façon?

L’employeur n’a généralement pas le droit d’exiger que lui soient révélés des renseignements médicaux confidentiels sur ses employés, tels que la cause d’un handicap, le diagnostic posé, les symptômes observés ou le traitement prescrit, à moins que ces informations soient clairement en lien avec l’accommodement demandé ou que les besoins de la personne soient complexes, nébuleux ou difficiles à satisfaire sans obtenir davantage de précisions. En de rares situations, soit lorsque les mesures d’adaptation nécessaires sont complexes, nébuleuses ou difficiles à satisfaire, la personne concernée peut être appelée à coopérer en fournissant des renseignements supplémentaires pouvant aller jusqu’à la révélation d’un diagnostic. Lorsque tel est le cas, l’employeur doit être capable d’expliquer pourquoi il a besoin de ces renseignements. Mais autant que possible, il doit consentir de réels efforts pour accorder les accommodements requis sans exiger d’une personne qu’elle lui révèle le diagnostic reçu ou d’autres renseignements médicaux non indispensables.

Dans une demande d’accommodement, la personne en cause doit généralement s’attendre à devoir fournir les renseignements suivants :

  • Confirmation de l’existence de son handicap.
  • Les limitations ou les besoins découlant de son handicap ou de son problème de santé.
  • Si elle peut s’acquitter des tâches essentielles ou des exigences de l’emploi, avec ou sans accommodement.
  • Les types d’accommodements nécessaires pour être en mesure d’exécuter ses tâches essentielles ou de respecter les exigences de son emploi.
  • Des rapports réguliers sur la date de son retour au travail lorsqu’elle est présentement en congé.

Lorsqu’un supplément d’information sur le handicap d’une personne est jugé nécessaire, les renseignements demandés doivent empiéter le moins possible sur la vie privée de la personne concernée, tout en étant suffisants pour aider l’employeur à accorder l’accommodement requis.

La divulgation doit faire état des mesures à prendre pour que vous soyez capable de faire votre travail.

Responsabilités – Les vôtres et celles de l’employeur

Vos responsabilités en tant qu’employé

Obligations et responsabilités liées au processus d’accommodement
Le processus d’accommodement est une responsabilité partagée. Toutes les parties en cause devraient s’y engager dans un esprit de collaboration, partager l’information disponible et envisager les solutions possibles. La personne handicapée doit faire ce qui suit :

  • Décrire au meilleur de ses capacités, préférablement par écrit, la nature de ses besoins en matière d’accommodement afin que la partie responsable de fournir la mesure d’adaptation puisse donner suite à sa demande.
  • Répondre aux questions ou fournir de l’information sur les limites ou restrictions pertinentes, y compris au besoin de l’information provenant de professionnels de la santé.
  • Prendre part aux échanges sur les mesures d’adaptation possibles.
  • Collaborer avec tout spécialiste dont l’assistance est requise pour gérer le processus d’accommodement ou qui pourrait fournir l’information demandée lorsque la personne handicapée n’a pas cette information.
  • Une fois que les mesures d’adaptation ont été adoptées, satisfaire aux normes et exigences de rendement convenues, dont les normes de travail applicables.
  • Travailler de manière continue avec la partie responsable de fournir la mesure d’adaptation afin de gérer le processus d’accommodement.
  • Parler de son handicap uniquement avec les personnes qui ont besoin d’en être informées.

Le fournisseur de la mesure d’adaptation doit faire ce qui suit :

  • Rester conscient du fait qu’une personne pourrait avoir besoin d’accommodement même si elle n’en a pas fait la demande spécifique ou formelle.
  • Accepter de bonne foi la demande de mesures d’adaptation présentée par la personne, à moins d’avoir des raisons légitimes d’agir autrement.
  • Obtenir au besoin (mais non de façon automatique) une opinion ou des conseils d’experts.
  • Veiller activement à ce qu’on examine les solutions de rechange et mesures d’adaptation possibles, et faire des démarches pour trouver diverses formes de mesures d’adaptation et solutions de rechange possibles.
  • Conserver des dossiers sur la demande d’accommodement et les mesures prises.
  • Respecter le caractère confidentiel de la demande.
  • Limiter les demandes d’information aux questions qui se rapportent raisonnablement à la nature des limites ou restrictions, de manière à pouvoir répondre à la demande d’accommodement.
  • Mettre en œuvre les mesures d’adaptation en temps opportun, jusqu’au point de préjudice injustifié.
  • Assumer les frais de toute information ou de tout document à caractère médical requis (p. ex. le fournisseur de la mesure d’adaptation devrait payer les billets de médecin, les évaluations psychologiques, les lettres dressant la liste des besoins en matière d’accommodement et autres).

Les personnes en quête d’accommodement doivent généralement aviser le fournisseur de mesures d’adaptation qu’elles ont un handicap. De son côté, le fournisseur de mesures d’adaptation doit accueillir leur demande de bonne foi. En contexte d’emploi, les personnes aux prises avec un trouble mental ne sont pas tenues de respecter une norme onéreuse en matière de communication initiale du handicap pour que se déclenche l’obligation d’accommodement de l’organisation. Les organisations devraient limiter leurs demandes d’information aux renseignements qui ont un lien raisonnable avec la nature de la limite ou de la restriction, et qui permettent d’évaluer les besoins et d’offrir des mesures d’adaptation.

Les avantages de la divulgation

  • Elle vous permet de bénéficier de mesures d’adaptation raisonnables pour faire votre travail de manière efficace.
  • Elle vous fournit une protection juridique contre la discrimination.
  • Elle réduit le stress, car les efforts pour ne pas divulguer votre handicap peuvent vous amener à dépenser beaucoup d’énergie.
  • Elle vous procure ce dont vous avez besoin pour réussir au travail.
  • Elle vous permet d’envisager de souscrire une assurance-maladie et de bénéficier d’autres avantages.
  • Elle vous donne une plus grande liberté de vous exprimer en cas de changements apportés à votre poste.
  • Elle améliore l’image que vous avez de vous-même – soit une personne qui sait défendre ses droits.
  • Elle amène vos employeurs à collaborer à l’apprentissage de compétences et au développement de mesures d’adaptation.
  • Elle augmente votre niveau de confort et de confiance.

Les risques de la divulgation

  • Elle peut vous faire vivre de mauvaises expériences et même vous faire perdre votre emploi.
  • Vos pairs et d’autres membres du personnel pourraient réagir négativement.
  • Vous pourriez devenir un objet de curiosité.
  • Vous pourriez être traité de manière différente des autres.
  • Vous pourriez éprouver des sentiments mitigés quant à l’image que vous avez de vous-même.
  • Vous pourriez être perçu comme quelqu’un qui est dans le besoin, qui n’est pas autonome ou qui ne performe pas aussi bien que ses pairs.
  • On pourrait vous ignorer pour un emploi ou pour faire partie d’une équipe, d’un groupe ou d’une organisation.
  • Il peut être extrêmement difficile et embarrassant de divulguer des renseignements personnels et de nature délicate.

L’importance de choisir le bon moment

Faut-il dévoiler son handicap dans sa demande d’emploi ou durant l’entrevue? Au moment d’accepter le poste? Après avoir travaillé dans le bureau afin d’avoir une meilleure idée de la façon dont le handicap peut influer sur son rendement? Chacune de ces options a ses avantages et ses inconvénients.

Conformément aux Normes d’emploi définies dans la Loi sur l’accessibilité pour les personnes handicapées de l’Ontario, les organisations ajoutent aux descriptions de postes ou à leur processus de candidature l’énoncé suivant : Si vous avez besoin d’une mesure d’adaptation pour poser votre candidature ou si vous êtes choisi pour participer à un processus d’évaluation, veuillez en informer les Ressources humaines.

Les responsables des entrevues devraient poser des questions comme celles-ci :

  • De quoi avez-vous besoin pour bien vous acquitter de vos tâches?
  • Comment réussirez-vous à faire votre travail?

Option : À l’étape de la candidature

Il est important d’établir une distinction entre les mesures d’adaptation dont vous avez besoin pour vous présenter à l’entrevue et celles qui touchent plus particulièrement l’emploi sollicité – à cette étape, vous faites état des mesures dont vous avez besoin pour passer l’entrevue.

Il est important de ne pas divulguer la nature exacte de votre handicap.

Les pours

  • Les employeurs informés avant l’entrevue peuvent être intéressés à savoir comment cette personne peut s’acquitter de ses tâches.
  • La divulgation à cette étape rassure l’employeur sur la confiance que vous avez en votre capacité de bien faire le travail.
  • Si l’organisation a déjà eu des expériences positives en embauchant des personnes handicapées, il se peut fort bien qu’elle soit plus ouverte à l’idée d’en embaucher d’autres.
  • Si l’organisation a été encouragée à embaucher une personne handicapée, votre divulgation peut être perçue comme une excellente occasion de donner suite à cette invitation.

Les contres

  • L’employeur peut être réticent à vous recevoir en entrevue s’il connaît votre handicap ou peut se servir de votre divulgation comme un outil de sélection.
  • L’employeur peut décider de vous recevoir en entrevue sans avoir l’intention de vous embaucher.
  • Si vous divulguez votre handicap, l’employeur peut avoir l’impression que vous êtes incapable d’occuper l’emploi ou que vous allez lui causer des problèmes une fois que vous aurez été embauché.

Option : À l’étape de l’entrevue

Les pours

  • Les employeurs ouverts d’esprit seront intéressés à découvrir comment vous pouvez vous acquitter de vos tâches.
  • Cela vous donne l’occasion de calmer les inquiétudes de l’employeur quant à votre capacité de faire un travail.
  • L’organisation peut envisager la possibilité de vous faire passer une entrevue d’embauche au cours de laquelle vous lui montrerez vos habiletés.
  • Cela peut mettre l’employeur plus à l’aise et l’aider à faire en sorte que votre embauche soit bénéfique pour son entreprise.
  • Si votre employeur hésite à embaucher une personne handicapée, cela vous donne une chance d’être évalué de manière équitable et de faire valoir vos compétences ainsi que les moyens que vous comptez prendre pour vous acquitter de vos tâches.

Les contres

  • Dans le cas d’entrevues partiales, la personne qui vous interroge peut avoir l’impression que vous avez été malhonnête en ne divulguant pas votre handicap à l’étape de la candidature.
  • Elle peut aussi avoir l’impression que vous êtes incapable d’exécuter convenablement les tâches de l’emploi.
  • L’intervieweur qui a peu d’expérience peut avoir l’impression qu’il n’est pas prêt à interroger une personne handicapée.
  • L’intervieweur a peut-être déjà vécu une entrevue ou une expérience de travail insatisfaisante – vous pourriez alors être victime de ses préjugés négatifs.
  • De mauvaises expériences antérieures ou des stéréotypes négatifs peuvent avoir une incidence sur la décision de vous embaucher ou pas.

Option : Divulgation à l’étape de l’offre d’emploi

Le pour

  • Vous avez déjà négocié les modalités d’emplois sans nécessairement avoir fait mauvaise impression ou suscité des jugements négatifs à votre endroit en raison de votre handicap.

Les contres

  • Vous pourriez être perçu comme indigne de confiance pour avoir gardé votre handicap « secret ».
  • Si l’employeur est incapable de vous fournir des accommodements, il peut trouver d’autres motifs pour se débarrasser de vous.
  • L’employeur peut estimer avoir été forcé d’accepter un employé sans tenir compte des coûts de ces accommodements.
  • Possibilité que l’employeur ne soit pas convaincu de vos compétences.

Option : Divulgation en cours d’emploi

Le pour

  • Vous n’avez pas eu à discuter de votre handicap à l’étape de la candidature ou de l’entrevue – moins de stress!

Les contres

  • Possibilité que l’employeur se méfie de vous – il peut se demander pourquoi vous n’avez pas divulgué votre handicap plus tôt.
  • Possibilité que cela nuise à vos relations avec votre supérieur, etc.
  • L’employeur qui ne veut pas vous fournir d’accommodement peut trouver d’autres façons de vous renvoyer.
  • Parce que vous ne l’avez pas informé plus tôt de votre handicap, il peut aussi douter de vos compétences.
  • Parce que vous ne l’avez pas informé plus tôt de votre handicap, il peut avoir l’impression que vous vouliez intenter une poursuite judiciaire contre lui.

Option : Seulement si votre handicap devient un problème

Les pours

  • Vous n’avez pas eu à négocier avant de divulguer votre handicap.
  • Vous avez eu la possibilité de prouver que vous pouviez faire le travail demandé.

Les contres

  • Manque de confiance en l’employeur.
  • Vous avez déjà eu des problèmes et l’employeur pourrait penser que vous avez des difficultés autres que votre handicap.
  • N’étant pas au courant de votre handicap, l’employeur pourrait avoir commencé à consigner ses préoccupations en matière de rendement dans le but de vous congédier ou vous entreprenez de lui expliquer pourquoi vous avez des problèmes de rendement.
  • L’employeur peut avoir l’impression que vous vivez mal votre handicap et que vous risquez aussi de mettre vos collègues mal à l’aise.

Comment formuler une demande d’accommodement Exemples :

  1. Pour être efficace, j’aurais peut-être besoin qu’on m’autorise à travailler sans prendre de pause.
    « Je suis généralement tellement concentré sur mon travail que les pauses semblent diminuer mon efficacité » ou « Après les pauses, il me faut beaucoup de temps pour me replonger dans mes tâches habituelles. »
    Accommodement consistant à terminer votre journée de travail plus tôt étant donné que vous ne prenez pas les pauses réglementaires. (Certaines entreprises considèrent les pauses comme une question d’ordre juridique, de sécurité ou de rendement au travail.)
  2. Il faut que je commence à travailler à un moment précis de la journée à cause des médicaments que je prends.
    Je travaille mieux lorsque je peux commencer ma journée à 13 h parce que je ne suis pas une personne matinale.
  3. J’ai besoin que mes collègues s’adressent à moi d’une certaine façon – Par exemple, j’aime qu’on me salue en me disant « Bonjour! » plutôt que « Comment ça va aujourd’hui? »
    Vous devez essayer de faire preuve de la plus grande souplesse possible face à vos employeurs pour tout ce qui a trait aux mesures d’adaptation dont vous avez besoin, tout particulièrement lorsque ces mesures concernent vos collègues.
    Dans ce domaine, il peut être utile de prévoir une formation de sensibilisation aux besoins des personnes handicapées, donnée par un fournisseur de services, mais il faut d’abord que le handicap ait été divulgué.
    Si l’employeur est intéressé à optimiser le rendement individuel de ses employés – cela vous donne l’occasion de parler des accommodements précis dont vous avez besoin (par exemple, une modification de l’éclairage, de votre poste de travail, de vos heures de travail), sans pour autant divulguer votre handicap.
  4. Je travaille mieux lorsqu’on me donne des instructions simples et précises qui ne prêtent pas à interprétation.
    Exemple : Je travaille mieux lorsque j’ai la possibilité de prendre des notes, surtout sur mon téléphone, pas sur papier.

Divulgation générale – Conseils utiles

  • Il n’est pas nécessaire que vos collègues sachent que vous avez besoin d’accommodements – ils peuvent constater que vous bénéficiez de mesures d’adaptation, sans avoir besoin de savoir pourquoi. S’ils vous posent des questions – répondez simplement que c’est pour des motifs personnels et que c’est comme ça que vous travaillez le mieux. Aucune autre explication n’est nécessaire.
  • Prenez conscience de vos forces et de vos intérêts ainsi que de vos besoins en milieu de travail. En quoi sont-ils reliés à votre travail?
    • Exemple : Je suis bon ou bonne en analyse statistique et j’ai besoin de travailler dans un endroit tranquille et d’avoir le moins de contacts possibles avec les autres membres du personnel.
      Je suis bon ou bonne en saisie sur clavier et les interruptions dans mon travail ne m’incommodent pas.
  • Si votre employeur propose des programmes de mentorat, inscrivez-vous. Vous en tirerez des bénéfices.
  • Surveillez votre rendement afin de vous assurer qu’il respecte les normes en vigueur.
    • Échangez régulièrement avec votre supérieur, de vive voix, par téléphone ou par courriel, sur des questions concernant le rendement : Est-ce que je me débrouille bien? Est-ce qu’il y a des aspects de mon travail que je pourrais améliorer? Est-ce qu’il y a des choses que je pourrais faire différemment? Êtes-vous satisfait de mon rendement?
  • Négocier des attentes qui tiennent compte de vos besoins.

    • Prenez conscience de vos attentes et de celles de vos supérieurs.
      Renseignez-vous sur les attentes et les objectifs à court et à long terme.
      Renseignez-vous sur les priorités professionnelles de votre supérieur.
      Demandez que les tâches vous soient attribuées de manière prévisible et qu’il y ait ensuite un suivi au besoin.
  • Demandez à pouvoir communiquer en utilisant la méthode que vous préférez ou obtenez de l’aide, au besoin – par exemple, verbalement ou par écrit.
  • Si un changement doit être apporté à votre routine de travail, demandez à en être averti dès que possible. C’est-à-dire, lors des réunions mensuelles ou hebdomadaires.
  • Soyez prêt ou prête à solliciter l’aide d’un fournisseur des services de l’emploi afin de découvrir la meilleure façon de procéder pour que vos conditions de travail répondent à vos besoins. Cette personne peut vous guider dans le choix de vos propos pour défendre vos droits, vous apporter un soutien émotionnel ou, si tel est votre désir, parler en votre nom.

Merci à Richard McCallum et à l’organisme Lésions médullaires Ontario qui ont rassemblé les informations requises pour ce projet. – http://www.sciontario.org/

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Vieillissement : Altérations au niveau des os et des articulations

Soutenir les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle tout au long du processus « normal » de vieillissement

Introduction

Les personnes vieillissantes qui souffrent d’une déficience intellectuelle présentent les caractéristiques suivantes :

  • Il existe de grandes chances pour qu’elles affectent le rythme quotidien de la maison et de la communauté d’une manière générale.
  • Elles nous poussent à se concentrer davantage sur la construction, le renforcement et le développement de leurs forces, de façon à améliorer leur qualité de vie.
  • Des changements surviennent fréquemment dans le soutien qu’on leur apporte ainsi que dans leur lieu de vie, et leur dossier médical est souvent inadapté. Par conséquent, reconstituer une image précise de l’état de santé de l’individu peut prendre du temps.
  • Elles nous mettent au défi de trouver des façons créatives leur permettant de continuer à faire ce qu’elles aiment et à tenir un rôle dans la maison.

Autres considérations :

  • Le vieillissement survient de façon plus précoce chez les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle que chez la population générale.
  • Au XXIe siècle, l’espérance de vie a augmenté pour atteindre 66,1 ans.
  • Les individus atteints d’une déficience intellectuelle représentent 3 % des personnes âgées.
  • Les besoins en matière de santé évoluent au fur et à mesure que la personne vieillit.

Les os et les articulations

Les altérations prévisibles au niveau des os et des articulations dues au vieillissement :

  • Diminution de la taille causée par les modifications osseuses.
  • Les os sont plus friables, ce qui entraîne le risque de fracture.
  • Modification de l’absorption de calcium.
  • Douleurs dues à des chutes ou à des fractures antérieures.
  • Les articulations sont moins lubrifiées; la personne peut développer de l’arthrite ou de l’arthrose.
  • Démarche instable.
  • Diminution de la masse musculaire, de la force, du tonus ainsi que de la mobilité articulaire.

Stratégies de soutien aux personnes présentant des altérations au niveau des os et des articulations :

  • Inclure dans le quotidien un léger exercice y compris des exercices d’appui si possible.
  • Prendre des précautions afin d’éviter les chutes comme désencombrer le domicile et retirer les petits tapis.
  • Des apports supplémentaires en calcium et en vitamine D peuvent être nécessaires; assurer une alimentation équilibrée.
  • Surveiller et traiter la douleur de manière appropriée.
  • Donner un analgésique si possible avant d’entreprendre une activité afin de réduire la gêne.
  • Prévoir plus de temps car la personne peut avoir besoin de faire les choses plus lentement.
  • Favoriser les aides à la mobilité.
  • Utiliser des mesures de protection afin d’éviter les chutes.
  • Augmenter la tolérance à l’activité physique.
  • Restaurer et améliorer la capacité à déambuler et/ou à participer à des AVQ (activités de la vie quotidienne).
  • Éviter les blessures dues à des chutes ou à une utilisation incorrecte de la mécanique du corps.

En résumé

  • Toutes ces altérations ne concernent pas forcément toutes les personnes.
  • Les organisations dédiées à une pathologie ou à un syndrome en particulier peuvent aider certaines personnes en leur fournissant des informations utiles.
  • Le vieillissement est un voyage tout aussi spirituel et psychologique que physique.

À ne pas oublier

  • Si nous pensons que les gens peuvent continuer à se développer et à partager leurs dons au fur et à mesure qu’ils vieillissent, nous les encouragerons dans cette voie.

Les informations proviennent des sources suivantes :

  • McCracken Intervention Matrix – McCracken – College of Nursing and Health, University of Cincinnati and Lotteman Children, Inc. Covington, KY
  • A Focus on Geriatrics Sharing the Learning St Vincent Hospitals part of Providence Health Care
  • Age Changes and what to do about it – Phyllis Kultgen et Peggy Hotz
  • Management Guidelines Development Disability Version 2, 2005.

Matériel original compilé par Jane Powell de L’Arche Ontario
Adapté avec l’autorisation du site http://www.aging-and-disability.org

Vieillissement : Altérations au niveau du système cardiovasculaire

Soutenir les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle tout au long du processus « normal » de vieillissement

Introduction

Les personnes vieillissantes qui souffrent d’une déficience intellectuelle présentent les caractéristiques suivantes :

  • Il existe de grandes chances pour qu’elles affectent le rythme quotidien de la maison et de la communauté d’une manière générale.
  • Elles nous poussent à se concentrer davantage sur la construction, le renforcement et le développement de leurs forces, de façon à améliorer leur qualité de vie.
  • Des changements surviennent fréquemment dans le soutien qu’on leur apporte ainsi que dans leur lieu de vie, et leur dossier médical est souvent inadapté. Par conséquent, reconstituer une image précise de l’état de santé de l’individu peut prendre du temps.
  • Elles nous mettent au défi de trouver des façons créatives leur permettant de continuer à faire ce qu’elles aiment et à tenir un rôle dans la maison.

Autres considérations :

  • Le vieillissement survient de façon plus précoce chez les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle que chez la population générale.
  • Au XXIe siècle, l’espérance de vie a augmenté pour atteindre 66,1 ans.
  • Les individus atteints d’une déficience intellectuelle représentent 3 % des personnes âgées.
  • Les besoins en matière de santé évoluent au fur et à mesure que la personne vieillit.

Système cardiovasculaire

Les altérations prévisibles au niveau du système cardiovasculaire dues au vieillissement :

  • Le cœur travaille plus dur pour maintenir les niveaux d’oxygène nécessaires dans l’organisme.
  • Du cholestérol peut s’accumuler sur les parois des artères.
  • Diminution de la capacité à remplacer les fluides perdus lors de la respiration.
  • Diminution de la réserve de force du cœur.

Stratégies de soutien aux personnes présentant des altérations au niveau du système cardiovasculaire :

  • Elles peuvent ressentir plus de fatigue et avoir besoin de plus de repos.
  • Surveiller la pression sanguine comme le recommandent les professionnels de la santé.
  • Changer fréquemment la position de la personne si elle est dans l’incapacité de bouger seule, afin que les fluides ne s’accumulent pas. Des séances de physiothérapie peuvent être nécessaires.
  • Garantir un apport correct en liquide et demander rapidement une aide médicale si l’on pense que la personne peut être déshydratée.
  • Encourager la personne à lever les pieds ou à les reposer sur des oreillers afin de réduire l’œdème.
  • Il est possible que les signes d’accident vasculaire cérébral ou de crise cardiaque chez ces personnes ne soient pas aussi visibles que chez la population générale. Ces signes peuvent prendre la forme d’un brusque changement de comportement tel qu’une faiblesse soudaine ou l’impossibilité de se tenir debout.
  • Pratiquer régulièrement une activité physique en participant à des exercices énergiques pendant au moins 20 minutes (jusqu’à 40 minutes), 4 à 5 fois par semaine.
  • Ne pas fumer.
  • Conserver un poids idéal.
  • Adopter une alimentation pauvre en matière grasse totale, en graisses saturées et en cholestérol mais riche en fibres.

En résumé

  • Toutes ces altérations ne concernent pas forcément toutes les personnes.
  • Les organisations dédiées à une pathologie ou à un syndrome en particulier peuvent aider certaines personnes en leur fournissant des informations utiles.
  • Le vieillissement est un voyage tout aussi spirituel et psychologique que physique.

À ne pas oublier

  • Si nous pensons que les gens peuvent continuer à se développer et à partager leurs dons au fur et à mesure qu’ils vieillissent, nous les encouragerons dans cette voie.

Les informations proviennent des sources suivantes :

  • McCracken Intervention Matrix –McCracken -College of Nursing and Health, University of Cincinnati and Lotteman Children, Inc. Covington, KY
  • A Focus on Geriatrics Sharing the Learning St Vincent Hospitals part of Providence Health Care
  • Age Changes and what to do about it – Phyllis Kultgen et Peggy Hotz
  • Management Guidelines Development Disability Version 2, 2005.

Matériel original compilé par Jane Powell de L’Arche Ontario
Adapté avec l’autorisation du site http://www.aging-and-disability.org

Vieillissement : Altération des capacités cognitives

Soutenir les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle tout au long du processus « normal » de vieillissement

Introduction

Les personnes vieillissantes qui souffrent d’une déficience intellectuelle présentent les caractéristiques suivantes :

  • Il existe de grandes chances pour qu’elles affectent le rythme quotidien de la maison et de la communauté d’une manière générale.
  • Elles nous poussent à se concentrer davantage sur la construction, le renforcement et le développement de leurs forces, de façon à améliorer leur qualité de vie.
  • Des changements surviennent fréquemment dans le soutien qu’on leur apporte ainsi que dans leur lieu de vie, et leur dossier médical est souvent inadapté. Par conséquent, reconstituer une image précise de l’état de santé de l’individu peut prendre du temps.
  • Elles nous mettent au défi de trouver des façons créatives leur permettant de continuer à faire ce qu’elles aiment et à tenir un rôle dans la maison.

Autres considérations :

  • Le vieillissement survient de façon plus précoce chez les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle que chez la population générale.
  • Au XXIe siècle, l’espérance de vie a augmenté pour atteindre 66,1 ans.
  • Les individus atteints d’une déficience intellectuelle représentent 3 % des personnes âgées.
  • Les besoins en matière de santé évoluent au fur et à mesure que la personne vieillit.

Les capacités cognitives

Les altérations prévisibles des capacités cognitives dues au vieillissement :

  • Sa capacité générale à apprendre de nouvelles choses n’est pas perdue mais des modifications dans le processus d’apprentissage sont visibles.
  • Il est plus difficile pour elle de mémoriser des listes de noms et de mots que pour une personne plus jeune.
  • Des modifications sensorielles et motrices tout comme les capacités cognitives peuvent affecter l’aptitude de la personne à répondre; elle peut éprouver des difficultés à organiser ses idées.
  • Augmentation du risque de démence : environ 56 % à 67 % de la population sera touchée après 60 ans.

Stratégies de soutien aux personnes présentant une altération de leurs capacités cognitives :

  • L’apprentissage de nouvelles informations peut prendre plus de temps pour une personne âgée, elle peut également avoir besoin d’aide pour retrouver les informations dans sa mémoire.
  • Lorsqu’on lui présente un choix de réponses, la personne peut plus facilement donner la bonne que lorsqu’elle doit utiliser directement sa mémoire pour rechercher l’information.
  • La surveillance des signes et symptômes de démence comprend ce qui suit sans toutefois s’y limiter :
    • Changements comportementaux.
    • Difficultés dans la réalisation de tâches familières.
    • Sautes d’humeur.
    • Mémoire déclinante.

En résumé

  • Toutes ces altérations ne concernent pas forcément toutes les personnes
  • Les organisations dédiées à une pathologie ou à un syndrome en particulier peuvent aider certaines personnes en leur fournissant des informations utiles.
  • Le vieillissement est un voyage tout aussi spirituel et psychologique que physique.

À ne pas oublier

  • Si nous pensons que les gens peuvent continuer à se développer et à partager leurs dons au fur et à mesure qu’ils vieillissent, nous les encouragerons dans cette voie.

Les informations proviennent des sources suivantes :

  • McCracken Intervention Matrix –McCracken -College of Nursing and Health, University of Cincinnati and Lotteman Children, Inc. Covington, KY
  • A Focus on Geriatrics Sharing the Learning St Vincent Hospitals part of Providence Health Care
  • Age Changes and what to do about it – Phyllis Kultgen et Peggy Hotz
  • Management Guidelines Development Disability Version 2, 2005.

Matériel original compilé par Jane Powell de L’Arche Ontario
Adapté avec l’autorisation du site http://www.aging-and-disability.org

Vieillissement : Altérations au niveau des fonctions d’élimination

Soutenir les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle tout au long du processus « normal » de vieillissement

Introduction

Les personnes vieillissantes qui souffrent d’une déficience intellectuelle présentent les caractéristiques suivantes :

  • Il existe de grandes chances pour qu’elles affectent le rythme quotidien de la maison et de la communauté d’une manière générale.
  • Elles nous poussent à se concentrer davantage sur la construction, le renforcement et le développement de leurs forces, de façon à améliorer leur qualité de vie.
  • Des changements surviennent fréquemment dans le soutien qu’on leur apporte ainsi que dans leur lieu de vie, et leur dossier médical est souvent inadapté. Par conséquent, reconstituer une image précise de l’état de santé de l’individu peut prendre du temps.
  • Elles nous mettent au défi de trouver des façons créatives leur permettant de continuer à faire ce qu’elles aiment et à tenir un rôle dans la maison.

Autres considérations :

  • Le vieillissement survient de façon plus précoce chez les personnes qui souffrent d’une déficience intellectuelle que chez la population générale.
  • Au XXIe siècle, l’espérance de vie a augmenté pour atteindre 66,1 ans.
  • Les individus atteints d’une déficience intellectuelle représentent 3 % des personnes âgées.
  • Les besoins en matière de santé évoluent au fur et à mesure que la personne vieillit.

Les fonctions d’élimination

Les altérations prévisibles au niveau des fonctions d’élimination dues au vieillissement :

  • Atrophie de la vessie : incapacité de la vessie à retenir l’urine durant de longs moments.
  • La constipation peut devenir un problème en raison du ralentissement du métabolisme.
  • Les hommes peuvent développer des problèmes de prostate qui entraînent un besoin fréquent d’uriner.
  • L’incontinence peut survenir en raison d’un manque de contrôle du sphincter.

Stratégies de soutien aux personnes présentant des altérations au niveau des fonctions d’élimination :

  • Conserver de bonnes habitudes intestinales et mettre en place des protocoles d’élimination intestinale destinés à la personne si nécessaire.
  • Prévoir à l’avance l’emplacement des toilettes lors de sorties.
  • Diminuer la consommation de caféine.
  • Augmenter l’apport en fibres et en liquide.
  • Faire de l’exercice.
  • Apporter des moyens et un soutien émotionnel adéquats.

En résumé

  • Toutes ces altérations ne concernent pas forcément toutes les personnes.
  • Les organisations dédiées à une pathologie ou à un syndrome en particulier peuvent aider certaines personnes en leur fournissant des informations utiles.
  • Le vieillissement est un voyage tout aussi spirituel et psychologique que physique.

À ne pas oublier

  • Si nous pensons que les gens peuvent continuer à se développer et à partager leurs dons au fur et à mesure qu’ils vieillissent, nous les encouragerons dans cette voie.

Les informations proviennent des sources suivantes :

  • McCracken Intervention Matrix –McCracken -College of Nursing and Health, University of Cincinnati and Lotteman Children, Inc. Covington, KY
  • A Focus on Geriatrics Sharing the Learning St Vincent Hospitals part of Providence Health Care
  • Age Changes and what to do about it – Phyllis Kultgen et Peggy Hotz
  • Management Guidelines Development Disability Version 2, 2005.

Matériel original compilé par Jane Powell de L’Arche Ontario
Adapté avec l’autorisation du site http://www.aging-and-disability.org